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Alias, une série aux nombreux atouts

Des acteurs talentueux, un scénario crédible et varié, des gadgets dignes d’un James Bond… autant de bonnes raisons de se laisser séduire par la série télévisée Alias. On y découvre la vie d’agent secret : un travail pas comme les autres qu’il est parfois difficile d’accorder à une vie personnelle aux problèmes quant à eux plus banales.

 

 

 

Un scénario de départ fracassant

 

 

Sidney Bristow se croit agent secret pour la CIA depuis sept ans. Elle découvre un beau jour qu’elle est au service de l’Alliance – à ses dépends –  une milice ennemie du gouvernement appelée le SD-6. Une découverte déclenchée par l’assassinat de son fiancé, tué par le SD-6 car Sidney lui avait avoué son activité secrète. Elle décide de détruire cet organe qui nuit à ses intérêts mais aussi à ceux des États-Unis. Elle divulgue les missions du SD-6 à la CIA, en devenant ainsi un agent double.

 

 

Un casting et un réalisateur de qualité

 

 

Le réalisateur et scénariste de cette série, Jeffrey Jacob Abrams est un habitué des programmes à succès, puisque c’est lui qui est aussi aux commandes de Lost, les disparus.

Quant aux acteurs recrutés, ils contribuent à la qualité de la série. Jennifer Garner interprète Sidney Bristow, un agent double à la plastique irréprochable et au tempérament attachant. Elle remporte d’ailleurs le Golden Globe de la meilleure actrice en 2002.

Michael Vartan, neveu de la chanteuse, interprète Michael Vaughn, un agent de la CIA. Le père de Sidney, lui aussi agent double, est joué par Victor Garber, remarqué notamment pour son rôle dans Titanic. La gente féminine saura apprécier le personnage de Will Tippin journaliste et ami de Sidney, joué par le séduisant Bradley Cooper. A noter également la participation d’Isabelle Rossellini.

 

 

Un air de James Bond…

 

 

Chaque épisode est ponctué d’une ou plusieurs missions de l’héroïne. Elle s’arme d’équipements tout spécialement pensés pour atteindre son objectif. Le téléspectateur découvre ainsi des gadgets dignes d’un film de James Bond. Le personnage de Marshall, concepteur de ces trouvailles, est le Géo trouve-tout de la série. Si l’on devait poursuivre dans les similitudes, on serait tenter d’évoquer le côté Da Vinci Code de la première saison : des énigmes d’un autre siècle chamboulent le quotidien des héros de la série.

 

 

Un certain réalisme

 

 

Si beaucoup d’éléments d’Alias relèvent de l’impossible, l’imaginaire du réalisateur ne nous plonge pas pour autant dans l’absurde. Les histoires sont toujours crédibles et dotés d’un certain réalisme. Il n’y a pas de super héros infaillibles. Ces personnages pourraient d’ailleurs être un de nos amis ou un membre de notre famille !

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