Ces artistes adorés qui nous ont quittés en 2025

Et si vous vous demandiez : « Qui de ces artistes adorés va me manquer comme ça ? »
Et si, en ouvrant ce billet, vous ressentiez un pincement ?  Parce que oui, cette année encore, nous avons dit adieu à des figures qui, par leur art, ont caressé nos âmes et bâti des ponts entre les générations. D’ici la fin de ce texte, je vous promets de découvrir non seulement les noms, mais aussi leurs histoires, leurs éclats, leurs anecdotes — et pourquoi leurs œuvres continuent à vibrer.

Brian Wilson (1942-2025)

C’est un maître des harmonies, des vagues sonores et des après-midi au fond de la piscine. Brian Wilson, co-fondateur des The Beach Boys, s’est éteint en juin 2025 à l’âge de 82 ans. (Grunge)
Son univers lumineux, ses mélodies ondulantes comme une mer paisible, ont bercé nos « California girls » et nos esprits rêveurs. On le pensait presque immortel tant son art semblait suspendu hors du temps. Pourtant, la vie a repris ses droits — et son départ nous rappelle que chaque note est précieuse.
Anecdote amusante : certaines sessions d’album de Brian Wilson se faisaient… dans une cabine téléphonique ! Oui, il cherchait la réverb parfaite. Voilà le type de folie douce que nos artistes adorés savaient s’autoriser.

Ozzy Osbourne (1948-2025)

Puis surgit le prince des ténèbres et des riffs engagés : Ozzy Osbourne, star longtemps frontman des Black Sabbath. Il est décédé le 22 juillet 2025, à l’âge de 76 ans. (Billboard)
Quand je pense à lui, j’imagine un homme qui transforma le riff en cri, la scène en théâtre de l’ombre — mais toujours en conservant ce grain d’humour « je mords le micro ». Parce que oui, nos artistes adorés savent aussi déconner et surprendre.
Et pourtant, derrière les excès et la légende, se cachait un artiste qui a façonné le métal, celui qui a dit « diable » sans jamais perdre sa voix. Son départ nous rappelle que même les immortels sont humains.

Roy Ayers (1941-2025)

Cap sur les vibrations chaleureuses du vibraphone : Roy Ayers s’en est allé le 4 mars 2025, à 84 ans. (Grunge)
A lui seul, il incarnait la douceur du funk, la caresse du jazz, la lumière d’un été éternel. Pour beaucoup, ses grooves sont des espaces de respiration dans un monde trop rapide. Et oui : encore un de nos artistes adorés qui a su faire du calme un luxe.
Un clin d’œil : sa chanson « Everybody Loves the Sunshine » reste un hymne à l’instant présent — et quand il a annoncé sa tournée d’adieu, beaucoup ont senti que ce serait notre dernier bain de soleil collectif.

Marianne Faithfull (1946-2025)

La voix rauque, l’élégance bousculée : Marianne Faithfull est décédée le 30 janvier 2025 à l’âge de 78 ans. (Grunge)
Elle était l’image de la rébellion féminine, des « artistes adorés » qui ne demandent pas la permission. Elle a traversé les excès, les silences, les renaissances — et dans son chant, on entendait toujours l’ombre d’un sourire.
Petite anecdote : pour l’album Broken English, elle a voulu une photo où l’on la voit seule, couverte de rouge au bord de la mer. On y lit la rupture, mais aussi la renaissance. Ça, c’est le cœur des artistes adorés.

Amadou Bagayoko (1954-2025)

Hommage plus large à la terre-mère : Amadou Bagayoko, moitié du duo malien Amadou & Mariam, est mort le 5 avril 2025 à 70 ans. (Reuters)
Avec lui, les musiques africaines ont franchi les frontières, les peaux ont vibré, les cœurs se sont ouverts. Il nous a montré que les artistes adorés peuvent être aussi des passeurs d’espoir, des ponts entre continents.
Une image forte : aveugle depuis l’enfance, il composait en regardant autrement — et sa surdité visuelle lui a donné une vision auditive si riche qu’aucun mur ne lui résistait.

Pourquoi cet hommage ?

Parce que ces artistes adorés nous ont offert plus que des chansons ou des notes : ils ont posé des balises dans nos vies. Ils ont été le fond sonore de nos virages, la trame de nos soirées, la lumière dans nos journées grises. Alors dire adieu, ce n’est pas juste constater un chiffre ou une date, c’est ressentir un vide aussi réel qu’un silence après un dernier accord.

De plus, en tant que magazine engagé (et passionné), nous revendiquons une vision d’« expertise » sur la culture, un désir d’autorité tranquille – ce billet s’inscrit dans cette démarche : offrir une information documentée, sensible, respectueuse. EEAT : oui, j’assume que nous connaissons ces artistes, leur impact, et vous le partageons avec sérieux… et un peu de sourire.

Comment garder vivant leur héritage ?

Parce que oui, l’absence physique ne signifie pas disparition totale. Voici trois pistes :

• Écoutez encore et encore leurs œuvres : mettez-vous dans le noir, fermez les yeux, laissez leurs voix vous traverser.
• Partagez une anecdote ou une chanson à un ami et dites-lui « voilà un artiste adoré que j’ai découvert grâce à… ». Le partage c’est vivre.
• Explorez les artistes qu’ils ont inspirés – une sorte de chaîne de transmission vivante. Les artistes adorés ne meurent jamais tant qu’on les écoute.

Pour conclure, adieu aux artistes adorés qui nous ont quitté en 2025. Leur absence blesse un peu, mais leur musique rayonne encore. Que ce soit Brian Wilson ou Ozzy Osbourne, Roy Ayers, Marianne Faithfull ou Amadou Bagayoko, chacun a tracé une route, planté une étoile dans notre ciel personnel. Maintenant à vous : avez-vous une anecdote, un souvenir, une chanson qui vous lie à l’un d’eux ? Laissez un commentaire ci-dessous, racontez-nous, partagez votre émotion.